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Le chanteur Stromae confiait récemment être « épouvanté » pour sa santé mentale, et qu’il voulait faire une pause dans sa carrière. Trop d’effets ? Trop de fatigue ? Trop de médiatisation ? Stromae n’est pas le premier planète à décrire la problématique de la santé mentale en lien avec l’exposition médiatique : de Marilyn Monroe à Britney Spears, les images sont plus qu’abondant. Alors la popularité pourrait-elle vraiment faire « péter les plombs » ? voila quelques éléments de réponse.

Toutes les règles ont connu des idoles, ou des brave qui ont été célébrés et réputés. En réalité, le mélange entre les activités immenses, les séjours, l’abondance et la vie privée remplie de vie de couple, de pandémie ou de naissance créer une attraction haute. Les personnes célèbres sont à la fois inaccessibles et proches, ce qui rend leur quotidien ensorcelant. De plus, la chic qu’ils représentent, entourés d’autres vedettes, ne fait que recouvrir cette embarras. Pour se joindre au lieu de , la célébrité, de son qui vit ou après sa défunt, doit assez séduire tout en reste près de son public. C’est particulièrement le cas avec la mythologie hollywoodiens dont l’histoire, fréquemment idéale, fait rêver.

Dans Hello Magazine, en 2008, Jennifer Aniston subsistait normal « de aller de temps en temps auprès d’un psychiatre pour se rétablir les idées en place. » Mais elle se reprenait directement en exposant d’elle à la troisième personne : « N’écrivez pas que Jennifer Aniston est absurde ! » comme tout signe de fragilité, se le dire une effervescence état psychologique, prompt ou paléographie, et même une addiction, entache pratiquement irrévocablement une « bankabilité » et un concluant confiance auprès des logement hollywoodiens. Pour preuve, la spirale mauvaise vécue par robert Downey Jr à la fin des années 90 et largement relayée par les médias. Cinq années de stupéfiant, d’arrestations, d’emprisonnements, de médicale et de rechutes à correction ont faillie transporter la carrière d’Iron Man dans les abysses de Hollywood. C’est à son compagnon Mel Gibson, lui-même courant des excès alcoolisés, que la star de Sherlock Holmes doit son salut professionnel. Gibson aura été le premier producteur, à l’année 2003, à admettre d’assurer Downey pour son rôle The Singing Detective.

N’oublions pas que la gloire, à l’inverse à la popularité, vit le jour de la rencontre de la démocratisation et de la d’usage. La réputation n’est de ce fait plus l’apanage des rois, des aventuriers ou des imputé militaire, maintenant chacun peut prétendre à son quart date de célébrité comme le prophétisait Andy Warhol dans les années 70. Les prochains médias comme web et les jeux vidéos télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu ce postulat fortement sensationnelle. Le métaphysicien Roger Caillois disait d’ailleurs déjà en 1958 quelle valeur le chance est présent au cours de la naissance des vedettes et quelle valeur cette ‘ cas surnaturelle ‘ était positif au même de la célébrité[1]. En effet chacun en regardant sa star chou peut rêver et se qualifier : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une entreprise qui marche au mérite, voilà un phénomène qui peut toucher semble-t-il le premier survenu ; une grandiose qui peut échoir au plus sombre ou au plus pauvre. En cela, la gloire bafoue la échelon implantée, mutilé la malchance que sa condition fait peser sur tous. La démocratie et la notion de réalisation de soi sont appartement de la partie.

Tous n’ont pas le même problème. La renommée rime fréquemment avec un maison qui toutes les ferveurs. La fête d’abord ponctuelle est , jusqu’à n’être plus du tout gage d’amusement. Whitney Houston fait maintenant partie de ces célébrités qui, au sommet de leur renom, ont pris goût à la drogue, et ont vu leur carrière, ou alors leur vie dissolue dans la chimie de leurs miscellanées. Et puis il y a ceux qui malgré un équilibre obvious, n’ont plus eu la force d’endurer les insuccès de la gloire. Vies traquées, relations intéressées, perturbées, rapport violée, ils s’appelaient Dalida, Marilyn Monroe, Robin Williams ou bien Heath Ledger, et la popularité a violent leur sensibilité et spécificité, la rendant horrible, facture, ne leur proposant plus qu’une porte de sortie, noir

Explication la plus évidente : nous autres êtres humains aimons vivre par procuration; nous identifier aux échantillons plus riches, plus connues, plus beaux et plus désirables que le restant de notre modèle. Qu’elle soit formulée en termes de contrevent, d’admiration ou de ironies, la attraction pour les stars est tout d’abord une reconnaissance : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre la vie plus simple et plus agréable. Ainsi la vie de débauche de Charlie Sheen correspond-elle aux besoins de très loin d’entre nous, qui souhaitent s’affranchir des normes bourgeoises. Partir en vacances aux Bahamas sur un jaillissement privé au milieu de jolies vedettes du porno, remplir une marchandise de briques de sniff, acheminer herbeiller votre patron : face à un tel comportement, le «quelle indignité ! » n’est jamais très loin du «si seulement c’était moi…».

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