Ce que vous voulez savoir sur en cliquant ici

Tout savoir à propos de en cliquant ici

Depuis toujours, l’Homme a été amené à perfectionner son industrie et sa manière de réaliser au fil de sa chronologie. Dès la mythologie déjà, Prométhée vola le feu de la connaissance sous les yeux des dieux, sur le mont Olympe, afin de l’offrir aux hommes. Prométhée apprit à ces derniers comment attiser ce feu, devenu alors un symbole de lumière et d’intelligence. Ce départ marque les prémices de la civilisation humaine où l’évolution technique amena l’Homme à améliorer progressivement son industrie.

Au 19e siècle, l’europe et les États-Unis connaissent de grandes transformations économiques et sociales. Stimulés par les améliorations techniques, ils s’industrialisent. C’est à cette époque que les chemins de fer ( et les premières locomotives fumantes ) apparaissent, de la même manière que voit le jour le télégraphe, le téléphone, et les journaux bon marché qui composent circuler plus vite les idées et les nouvelles. La croissance spectaculaire des villes fait de cet âge industriel une époque prodigieuse. La première révolution industrielle est généralement proposée comme l’effet technique accompli à la fin du 18e s. et au début du 19e siècle. Ainsi irruption et l’amélioration de la machine à vapeur en 1769, inventée par l’anglais James Watt permet d’actionner d’autres machines et change à 100% les outils de production. Cette période marque manifestation de la mécanisation qui érigera la fabrication industirelle en fondements de la structure économique de la société, se substituant ainsi à l’agriculture. L’extraction massive du charbon couplée à cette nouvelle machine à vapeur professionnelle permet d’ajouter à disposition une énergie nouvelle pour donner une impulsion aux réseaux ferroviaires et aux échanges financiers.

À partir du printemps 1982, la gauche au pouvoir a privilégié la bataille contre l’inflation en mettant fin à l’indexation des salaires sur les prix, et la défense du franc. Dans le même temps, la société a été réhabilitée aux dépens de la consommation des ménages afin de relancer l’investissement. Ces orientations – infirmier se sont améliorés durant les deux cohabitation de 1986 à 1988 sous Jacques Chirac, et de 1993 à 1995 sous Édouard Balladur, avec la suppression du contrôle des changes et de l’autorisation administrative de licenciement, et avec les privatisations, et ensuite à nouveau de 1995 à 1997, sous le gouvernement Juppé avec le plan de réforme de la protection sociale et du régime de retraite repoussée à 65 ans dans le privé, la multiplication des assistances aux sociétés.

Cette descente aux enfers va prendre fin début 1994. En moins d’une année, la moitié du chemin perdu est reprise, et à la période estivale 95, le niveau de la production n’est plus qu’à 6% seulement de son dernier pic. Mais l’élan va vite être brisé après les dévaluations en série du Royaume-Uni, de l’Italie, de l’Espagne qui vont occasionner une perte de compétitivité brutale et laminer des pans entiers de la fabrication industirelle française, notamment dans les biens de consommation : le textile-habillement, le cuir, la chaussure, l’électroménager. par ailleurs, le saut de vis budgétaire du gouvernement Juppé, avec notamment la majoration de 2 points de la taxe sur la valeur ajoutée, va casser la consommation des ménages. Une politique de rigueur qui s’inscrit dans la perspective de la mise en place de l’euro.

En valeur, l’industrie européenne ne cesse de croître, faiblement mais régulièrement. L’Union européenne est donc aujourd’hui la deuxième puissance industrielle du monde. Le continent peut s’appuyer sur de nombreuses entreprises d’envergure, notamment dans les secteurs de la chimie/pharmacie et de l’agroalimentaire en France ou de la mécanique, de la chimie et de la construction mécanique en Allemagne. Volkswagen, Daimler, Siemens, Bayer ou encore ThyssenKrupp sont des références mondiales. L’Italie est de son côté marquée par une prédominance du textile, de l’agroalimentaire et de l’automobile, tandis qu’en Pologne, l’extraction minière, la sidérurgie et la chimie font partie des branches les plus importantes.

Si on revenait au début de l’histoire de l’industrie alimentaire, ce sont les dernières années du XVIIe s. qui capte le plus l’attention des intéressés. avant cela, l’agriculture et l’élevage constituaient encore les travaux principaux qui garantissaient la réussite de la vie d’un foyer. Mais en direction du milieu du XIIe siècle, l’exode rurale battait son plein et le manque de nourritures commençaient à se sentir dans les villes fortes en densité. Et c’est là qu’une nouvelle idée d’exploitation des aliments a été conçue. En effet, pendant cette période, l’industrialisation des produits avaient pour objectif primaire d’optimiser le délai envisageable de la conservation de l’alimentation. C’est ainsi qu’en 1790, la première méthode de stérilisation a vu le jour par un britannique. Il s’agissait, à l’époque, de préserver les produits périssables avec l’aide de la chaleur. Mais avec la conception de la garde était aussi arrivée la fameuse soupe avec poudre. Les années suivantes, la manufacture de produit industiel alimentaire ne cessait de se développer avec l’appui de très nombreux chimistes et industriels. Et en 1913, pour être plus précis, les premiers appareils électroménagers étaient installé et utilisés dans certaines cuisines. Le réfrigérateur était le selon dans le listing. Et plus est, celui-ci n’attendait que peu de temps pour les particuliers assez aisés l’adoptent chez eux.


En savoir plus à propos de en cliquant ici


Publié

dans

par

Étiquettes :

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *